Découverte. Un train de retard. Ce quartet belge n’est pas à son coup d’essai. Formé en 2009, les belges ont eu le temps – et l’inspiration – de sortir 3 albums. Avant que je ne me réveille. De racines bluesy roots huileuses (Led Zep, Black Keys, Raconteurs), le groupe évolue en balançant du déhanché 70s. Ambiance boule à facettes et roulette russe.
Un single est sorti, mise en bouche savoureuse d’un prochain album attendu pour octobre. Il fleure bon le vieux Stones à plein nez, la gouaille de Jagger et le groove délicatement sensuel. J’en serai.
Et pour compléter cette preview, je ne me lasse pas d’Emily, titre issu du précédent album sorti en 2006:
Quelques liens :
– Le site Officiel des Sore Losers
– Leur page Facebook