Ne revenons pas sur cette nouvelle pépite à la voix limpide et d’une pureté diamentaire. Mais plutôt sur l’épure. Un lieu vide. Un ancien gymnase. Un lieu de vie. Bousculé un instant par cette rêverie perchée. Armé d’une Fender Mustang 1966, Isaac sonne à merveille. Les notes égrainées d’un jeu aux doigts délié. On croit entendre du Jeff Buckley. Fermez les yeux.
J’en profite pour vous recommander les Mahogany Sessions. De beaux moments.